Tales of Arise TEST : un action-RPG de grande envergure ?

Sorti le 7 septembre 2021 au Japon et dans le reste du monde, Tales of Arise s’annonce comme un renouveau pour la franchise légendaire de J-RPG. Développeur et éditeur, Bandai Namco souhaite capitaliser sur son public grandissant tout en séduisant le grand public, en quête d’action et de RPG. Misant sur des graphismes de hautes volées et un gameplay énergique, Tales of Arise a-t-il l’étoffe d’un grand action-RPG moderne ? C’est-ce que l’on va voir dans ce test.

Scénario

L’histoire principale de Tales of Arise reprend beaucoup d’éléments de notre propre univers. Nous sommes en présence de plusieurs contrées et peuples qui ont chacun leurs idées sur qui doit diriger le monde. Les a priori sont légion et des thématiques comme le racisme ou les théories de supériorité raciale sont clairement mis sur le devant de la scène par les développeurs. Alphen et sa troupe, que nous dirigeons, sont à la croisée de toutes ces influences. Les clichés sont également de mises : l’équipe se compose d’un protagoniste naïf et bienveillant, d’une sidekick noble, hautaine qui va s’attendrir avec les expériences, d’une fillette douée en magie et mordue de livres, d’une tête brûlée, d’un aristocrate déconnecté de la réalité de ses sujets… Bref, vous l’aurez compris, le jeu plonge à pieds joints dans son inspiration manga-anime, et il joue plutôt bien ses cartes.

Car au-delà d’une histoire convenue (on rassemble une équipe de personnages, puis on va libérer le monde), le récit est régulièrement saupoudré de thématiques parfois audacieuses pour un J-RPG. Chaque monde nous raconte sa propre histoire, ses forces et ses faiblesses. On passe d’une dictature sanguinaire avec des camps de travail, à un monde plongé dans le froid et la nuit où chacun vit dans la crainte de se faire dénoncer par son voisin de palier. Alors oui, le jeu veut toucher le plus grand nombre et en conséquence, ces problématiques ne sont jamais vraiment exploitées à leur plein potentiel. Cependant, elles ont le mérite d’être là et d’offrir un second volet de lecture plaisant pour ceux qui se donnent la peine d’explorer les contrées.

Au fil de nos aventures donc, nous explorons de plus en plus de contrées qui se distinguent avant tout par leur visuel et leur climat. Les couleurs, les températures, tout est nettement séparé, ce qui nous force souvent à suspendre notre incrédulité. Le scénario suit son cours et nous promet d’aller vers un monde meilleur, ce qui sera nuancé avec brio dans le dernier tiers du jeu. Sans vous dévoiler le twist, on passe d’une vision blanc-noir, gentil-méchant, à des nuances de gris. Comme tout bon J-RPG, des révélations sont de rigueur pour une bonne partie du casting, Alphen en tête. Cela s’illustre même visuellement, avec une apparence progressivement dévoilée, au rythme des surprises scénaristiques. Le titre n’a pas le meilleur scénario de son genre, il est solide sans nous en mettre plein la vue. Le dernier tiers est le bienvenu, puisque l’aspect répétitif commence à se faire sentir au bout de 20 à 30 heures de jeu.

Les quêtes secondaires sont, en revanche, franchement passables. Si, comme nous, l’expérience du Platine et du 100% vous passionne, vous devrez toutes les faire. Qu’on se le dise, la plupart n’ont aucun intérêt. Il n’y a pas de grand développement scénaristique sur les individus, seule une poignée évoque le vécu ou les ambitions des héros. La plupart des quêtes secondaires vous demandent d’aller tuer X Zeugles (les monstres communs du monde) et collecter leurs ressources. D’autres quêtes sont aussi de type « FEDEX ». Vous devez aller à un point A, faire une action, et rapporter le butin au personnage non-jouable. Rien de très stimulant donc, et malheureusement, c’est quasi toujours le cas. Les autres quêtes annexes ont une narration franchement passable et tombent souvent dans le nanar. Par exemple, deux personnages qui vont se chercher des noises pour un motif risible. Bref, ce n’est pas sur ce point que le titre brille, et on regrette une telle différence d’écriture entre la quête centrale et les secondaires. Cela casse parfois trop le rythme et le sérieux du propos !

Le jeu se permet même de développer son scénario avec du contenu additionnel payant. L’histoire de ce DLC se place juste avant la fin de la trame principale. Cependant, tout cela est purement optionnel et n’a aucune influence dans l’œuvre de base (sauf sur les succès). Une critique arrivera sous peu sur le DLC de Tales of Arise !

Gameplay

Il n’a jamais été aussi simple de jouer à un Tales of. Cet épisode propose quatre modes de difficulté (avec en bonus des artefacts activables qui nous permettent, par exemple, de ne subir que 1HP par attaque). En combat, vous pouvez choisir à la volée entre trois fonctionnements : manuel, semi-automatique et automatique. Le mode semi vous permet de contrôler et de dicter les choix de votre personnage. Vous équipez des attaques (6 au sol, 6 dans les airs) et vous pouvez les lancer en actionnant les bons boutons. Des combos sont disponibles et déblocables au fur et à mesure de votre avancée dans votre épopée. Une attaque spéciale est enclenchable périodiquement, lorsque vous aurez rempli une jauge (ce qui se fait naturellement au gré des attaques et des enchaînements). Avec la croix directionnelle, vous pouvez engager l’assaut dans le temps imparti. Des dégâts colossaux et une chouette animation se déclenchent. Les développeurs ont d’ailleurs eu la bonne idée de réaliser des animations courtes et dynamiques (même si quelquefois un peu brouillonne). Dans un jeu qui nous tient des dizaines d’heures, on va les employer des milliers d’occurrences. Plus c’est bref, mieux c’est !

Le dernier mode est le tout automatique. Mais contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, il ne s’agit pas tout à fait d’un pilote automatisé. Vous pouvez absolument perdre des combats de boss, de semi-boss ou de monstres majeurs si vous ne touchez pas à la manette. Ce qui change, ce sont les actions de base : appuyer sur les attaques basiques avec B, A, X… Tout ça est désormais géré par l’ordinateur qui déclenchera ces actions de façon autonome, et qui se chargera de correctement esquiver (la plupart du temps) les attaques ennemies. De votre côté, vous devrez néanmoins vous cramponner à la croix directionnelle pour lancer les attaques spéciales de vos personnages. C’est donc un mode automatique qui ne l’est pas tout à fait. Toutefois, il a le mérite d’être modulable : à tout moment, vous avez le choix de reprendre la manette et de bouger votre personnage à l’aide du joystick, et de lancer les attaques classiques. En clair, vous pouvez passer d’automatique à semi-automatique en utilisant tous les boutons de votre manette. Si vous relâchez et qu’aucun input n’est détecté dans les deux secondes suivantes, alors l’ordinateur se charge de reprendre la main.

Une fois que vous avez sélectionné votre mode de difficulté et votre façon de combattre, vous devez vous engager dans l’extermination d’à peu près tous les monstres et créatures qui peuplent le monde de Tales of Arise. Il en existe sous toutes les formes, et vous devrez adapter votre manière d’envisager les affrontements. Certains adversaires sont volants, d’autres sont de grandes envergures, certains possèdent des immunités élémentaires. Bien sûr, tout vous est convenablement expliqué dans les premières heures de l’aventure : Rin est une magicienne qui a dans son attirail une attaque spéciale capable de neutraliser les opposants en cours d’incantation. Law, votre tête brûlée préférée, est à lancer sur les ennemis cuirassés ou avec une énorme armure. Pour tout ce qui est magique, vous pouvez employer certains personnages comme Alphen (dégâts de feu) ou Rin (dégâts élémentaires). Dans d’autres situations, il vous faudra immobiliser vos adversaires avec Dohalim, les contrer en pleine charge avec Kisara, ou bien les attaquer à distance avec Shionne… Bref, vous l’avez compris, le gameplay est riche ! Tout ce pan de gameplay est franchement négligeable dans les difficultés les plus « faciles », mais devient primordial dans les modes les plus corsés.

Pour finir, un mot sur les attaques et le système d’amélioration. Il s’agit d’un J-RPG, donc vos personnages sont soumis à des stats qui évoluent avec les niveaux (c’est automatique, bien que certains consommables permettent d’ajouter des dizaines de points statistiques). Votre contrôle sur les personnages passe essentiellement par le développement de leurs aptitudes. Cela intervient de deux façons : la première est un sphérier de compétences à débloquer façon Final Fantasy X. Lorsque vous terminez un combat ou que vous achevez une quête (principale comme secondaire), vous remporter des points de compétence. Ils peuvent être dépensés contre des améliorations ou des attaques, dans le sphérier. Il est différent selon les personnages et n’est pas révélé dès le début. Il faudra remplir certains critères, comme la complétion d’un enchaînement de quêtes annexes. Au-delà de ce système de progression, vous pouvez aussi débloquer des attaques et des compétences distinctes en combat. Vous commencez la partie avec une poignée d’attaques. En les utilisant un certain nombre de fois (100 fois, 1000 fois, 2500 fois), vous les faites évoluer. Les dégâts sont améliorés, mais dans certains cas, vous remportez aussi une technique inédite. Il est donc très intéressant d’enchaîner les combats et de varier vos combos pour débloquer le maximum d’éléments d’ici à la fin de la partie !

Graphismes

Tales of Arise marque un tournant dans l’histoire de sa franchise. En effet, les développeurs ont basculé vers un tout nouveau moteur graphique : l’Unreal Engine. C’est l’outil de développement le plus populaire dans le monde, on comprend donc que la motivation derrière était d’ordre pécuniaire. Devoir mettre au point un moteur graphique, en plus d’un jeu, est chronophage et consomme bien des ressources financières (ou humaines). Première fois oblige, les petites mains de chez Bandai Namco ont dû prendre la bête en main et bien assimiler son fonctionnement et ses procédures. Après un temps de développement relativement long compte tenu des standards de la franchise, le résultat est pour le moins réussi ! Le jeu est en effet de toute beauté, que ce soit sur PC (nous avons eu la chance de le faire en 4K/60 FPS, et ça envoie du lourd), ou bien sur console. D’un point de vue technique, tout n’est pas forcément égal, on trouve des chargements grossiers dans certaines zones, la distance d’affichage est tout à fait ridicule avec les réglages au maximum, et les textures n’ont pas toutes le même soin. On vous conseille d’ailleurs de jouer en plein écran dans la version Steam, cela nous a personnellement épargné des petites déchirures d’images.

Quoi qu’il en soit, le jeu est graphiquement sublime. Les développeurs ont réussi à bien marier un univers heroic-fantasy avec le style manga de la licence. Certains détails sont réalistes et ne manquent pas de nous faire prendre des captures d’écran pour immortaliser des scènes ou des panoramas. Les environnements flattent la rétine, les écosystèmes fourmillent de détails et les effets de particules sont réussis. Les zones se distinguent bien et renouvellent constamment l’expérience. C’est d’autant plus frappant que la première partie est terne (première heure de jeu), avec un habitat grisant, couleur rouille et beaucoup de cailloux désertiques. La suite virevolte entre le grandiose et le médiéval fantasmé. Comprenez des églises gothiques, des palaces orientaux ou bien des villes typiques du moyen-âge européen. Mention spéciale pour les cavernes et autres grottes qui, même si elles finissent inéluctablement par se ressembler, ont pour elles de magnifiques effets de cristaux ou de lumière qui nous ont bluffés plus d’une fois.

Au niveau game-design maintenant, le jeu ne met pas du tout à profit son environnement grandiloquent. Les zones jouables sont essentiellement des couloirs, entrecoupées de quelques périmètres explorables sous forme de rond central, connecté à d’autres petits chemins optionnels. Nous devons suivre une trame narrative bien établie par Bandai Namco et la liberté du joueur n’est néanmoins pas aussi claire que l’univers ne nous laisse l’entendre. Sur votre chemin, vous retrouvez des ennemis avec des design réussis et variés (bien qu’un peu trop sages, disons-le). La plupart peuvent être contournés, ce qui est agréable quand vous vous retrouvez à court de soin (ou de points de compétences qui vous permettent de vous soigner, notamment avec Shionne). Les boss et les créatures primordiaux tirent quand même leur épingle du jeu, avec quelques fulgurances pour certains dans des secondes formes ou des deuxièmes phases d’affrontements. Enfin, le casting est réussi, mais encore une fois, rien de franchement bluffant. On est une nouvelle fois dans le stéréotype des J-RPG où l’on peut aussitôt identifier quels personnages seront majeurs s’ils ont une couleur de cheveux. C’est valable pour les personnages principaux, mais presque aussi pour les personnages secondaires avec une importance scénaristique.

Bande-son

Les musiques et les ambiances de Tales of Arise ont été composées par Motoi Sakuraba, que l’on connaît pour bien d’autres franchises et surtout par sa faculté à mélanger de nombreux styles. Ici, nous sommes sur une composition globalement réussie. On peut séparer les morceaux en deux ambiances : les combats (épiques) et les musiques d’ambiance (calmes, rappelant la nature). Le rythme est bien géré par les compositions. Les moments épiques le sont visuellement, mais aussi via leur accompagnement musical très dynamique qui accentue les trahisons, les retournements de situation, ou les affrontements avec des boss marquants. Ce n’est sans doute pas l’œuvre la plus réussie de Sakuraba, mais elle est très honorable et ne nous lasse pas.

Le doublage des personnages est très satisfaisant, et excellent en japonais. Heureusement d’ailleurs, tant le jeu est bavard ! Les protagonistes parlent tout le temps, ce qui est pratique pour nouer des relations et développer une sensation de « vie de groupe ». Cependant, cela est parfois agaçant, voire ridicule dans certains cas. Les répliques sont bonnes, mais souvent trop utilisées. Alphen n’hésitera pas à nous dire qu’il craint pour la durabilité de son épée ardente à chaque fois qu’il plonge dans l’eau. La première fois, ça fait sourire. La 50e, beaucoup moins. Il y aurait eu matière à ajouter un peu plus de répliques dans ce registre, et revoir la distribution sur la durée.

Le casting est varié : on retrouve des célébrités comme Matsuoka Yoshitsugu qui interprète Law (Kirito dans Swort Art Online, Soma Yukihira dans Food Wars !), et des moins connus : Rinwell est jouée par Hara Sayuri (Ogaki Chiaki dans Yuru Camp, Kon dans Inari, Konkon, Koi Iroha), Alphen est par Sato Takuya (Hyûga Kojirô dans Captain Tsubasa 2018, Kai Toshiki dans Cardfight!!). La qualité est cependant toujours au rendez-vous, et difficile de demander mieux.

Durée de vie

L’histoire principale de Tales of Arise se boucle en une quarantaine d’heures. Ça, c’est si vous allez en ligne droite en difficulté normale, que vous ne perdez pas de temps dans les dialogues optionnels au feu de camp, que vous ne regardez pas trop de « saynètes » et que vous évitez comme la peste les quêtes secondaires. En réalité, si vous prenez le temps d’explorer toutes les facettes du jeu, vous arrivez très rapidement à 50, 60 heures de jeu. Vous voulez faire le 100% du jeu de base ? Comptez plutôt entre 70 et 90 heures suivant votre facilité, vos habitudes de la franchise et de si vous fonctionnez ou non avec un guide.

Les dialogues sont, comme dit plus haut, omniprésents. Tout le temps. Dans les combats, lorsque vous vous baladez tranquillement, avant de dormir au feu de camp, dans les auberges, lors des quêtes principales comme secondaires. Le jeu veut développer une histoire de groupe et un univers riche, et il s’en donne les moyens. Au risque d’en faire parfois trop. De façon générale, l’intrigue est bien déroulée avec ce qu’il faut de mise en scène et de dialogues toujours impeccablement doublés. Ce que l’on peut reprocher, c’est les interactions trop nombreuses entre les personnages. Cela a toujours été une marque de fabrique de Tales of, et il faut le prendre comme tel. C’est un bonus des développeurs, une générosité de contenu qui est facultatif. Mais en le passant, on peut rapidement louper du développement de personnages, et on a vite fait d’appuyer sur R1 dès que l’option de dialogue est proposée. Le jeu la met d’ailleurs en avant dans les options, puisque l’on peut jouer ou rejouer une scène au feu de camp. Un succès est lié et vous poussera à tous les visionner. Bien heureusement, il est possible de passer les dialogues en appuyant sur A. Certaines de ces saynètes sont intéressantes, apportent de la profondeur, des réflexions sur la vision des personnages sur leur univers ou semblables. Mais la plupart ne volent pas haut, tournant souvent autour des attirances amoureuses des trois duos de notre équipe.

Mais la durée de vie dans Tales of, ce n’est pas que du blabla et des interactions. Dans Arise, elle est également boostée par tout le contenu annexe qui se débloque une fois l’aventure principale achevée. Des quêtes secondaires sont disséminées dans toutes les zones, vous permettant de les explorer sous un nouvel angle. On s’en doute d’ailleurs dès le début du jeu, où un Zeugle surpuissant est positionné non loin du village du départ. Il faudra revenir dans le dernier du jeu pour oser le défier et remporter une belle récompense. Concernant la montée en niveau et l’expérience, il n’y a pas besoin de farmer ou de perdre du temps dans les combats pour progresser et terminer le jeu. On en vient à bout avec une équipe de niveau 60, généralement. Vous pouvez utiliser des objets et des consommables pour démultiplier les points d’expérience en combat, mais si vous jouez en normal ou en facile, alors pas besoin de se prendre la tête. Veillez seulement à prendre un stock de soin, de potions de résurrection et de régénération de mana pour distribuer des soins en boucle lors des combats. Le reste suivra.

Pour finir, la durée de vie dépendra également de votre investissement dans les mécaniques de gameplay que le jeu vous propose. Il existe notamment une arène type colisée, un système de pêche addictif (bien que très sommaire), une ferme pour élever divers animaux de façon automatique, et bien sûr tout le système de compétences qui est à optimiser. Si ces éléments complémentaires ne vous attirent pas, alors le jeu principal vous tiendra entre 40 et 50 heures. Sinon, comptez 70 à 100 heures pour faire le tour de l’œuvre. Et ça, c’est sans compter le DLC !

Notes finales

DomaineNoteCommentaire
Scénario6/10Convenu, mais qui tente parfois des secondes lectures intéressantes, il peine à décoller dans les premières heures avant de pleinement se révéler dans le tiers de l’aventure. Les quêtes secondaires sont oubliables.
Gameplay8/10Enivrant, riche, spectaculaire et modulable à souhait : le système de combat de Tales of Arise est une franche réussite qui séduira tous les publics !
Graphisme9/10Les graphismes déployés grâce à l’Unreal Engine sont magnifiques. Les développeurs ont pu retranscrire un univers fantastique et la direction artistique est remarquable.
Bande-son7/10Les musiques d’ambiance sont réussies, tout comme celles qui accompagnent nos affrontements. Cependant, rien d’exceptionnel ni de marquant.
Durée de vie8/10Une excellente durée de vie pour la quête principale (40 heures) et le double si l’on souhaite explorer les profondeurs du titre sans trop se lasser.
Bilan 8/10Tales of Arise est un très bon Action-RPG que nous vous recommandons. Excellente porte d’entrée pour la série Tales of, il développe une aventure sans prise de tête saupoudrée d’un gameplay convaincant. Idéal pour se défouler ou s’évader le temps de quelques heures.
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