Ce vendredi, les autorités nippones ont annoncé que 41 personnes supplémentaires ont été testées positives pour le coronavirus. Le bilan grimpe désormais à 61 contaminations pour ce bateau de croisière. Pour rappel, il est toujours ancré au large de Yokohama.
Toujours 3700 personnes en quarantaine
Le navire de croisière a été mis en quarantaine d’après une décision de la municipalité de Yokohama. L’objectif est d’endiguer la propagation du coronavirus sur le bateau, alors même que de fortes suspicions tombaient sur certains passagers de ce navire, du fait de sa provenance. Elles ont été rapidement confirmées, avec 10 personnes formellement contaminées, qui ont été mises en quarantaine dans un hôpital à proximité. Par la suite, 10 autres cas se sont déclarés. Il restait ainsi 170 résultats à attendre.
Malheureusement, il semble que la contagion soit plus répandue que prévu. 41 personnes supplémentaires ont été diagnostiquées, malgré que les passagers soient confinés depuis quelques jours. Surtout, la crainte d’une propagation généralisée aux 3700 membres présents sur ce bateau de croisière grandit.
Ces 61 personnes qui ont été diagnostiquées positives face aux coronavirus ne sont pas anodines, sur le bateau. Elles provenaient d’un échantillon de 273 individus qui avaient été testés par ce qu’ils présentaient des symptômes, où avaient été en contact étroit avec des malades.
Comment s’est opérée la propagation du virus ?
Des vidéos semblent indiquer des panneaux bleus et blancs placés dans le navire comme responsables du transport de ce virus. Par la suite, comme il est de coutume avec un coronavirus, la transmission peut se faire de diverses manières. Aujourd’hui, l’humeur des passagers diminue d’heure en heure, allant de pair avec l’augmentation du nombre d’infections. Chacun redoute d’aller à son balcon pour inhaler de l’air frais, et craint pour sa santé.
Pour rappel, d’après les experts, le virus peut être transmis par les liquides que sécrète une personne : en expirant, en toussant, en éternuant, mais également par des zones contaminées, comme ce fut le cas ici, dans un premier temps.