Comment visiter les temples et les sanctuaires au Japon : règles et étiquette

Femme japonaise dans un temple japonais

La visite de sanctuaires et de temples constitue une des activités à ne pas manquer lors d’un voyage au Japon. Le pays abrite plus de cent mille sanctuaires et temples, et il est fort probable que vous tombiez sur l’un d’entre eux par hasard ou que vous passiez devant l’un d’eux lorsque vous vous déplacerez d’une ville à l’autre. Ces endroits sacrés sont également des lieux touristiques très appréciés en raison de leur architecture majestueuse et de leurs magnifiques jardins.

Se rendre dans ces lieux sacrés a toujours été une tradition importante pour les Japonais, notamment au moment du Nouvel An. À cette occasion, de longues files de gens priant pour une bonne année à venir se forment devant les principaux sanctuaires et temples. Si de nombreux Japonais ne connaissent pas parfaitement les manières et l’étiquette à respecter lors de la visite d’un sanctuaire ou d’un temple, vous pouvez suivre ce guide afin de respecter les règles en un clin d’œil.

Adoptez un comportement respectueux

Femme avec le doigt sur la bouche

Les temples et les sanctuaires, qu’ils soient bondés de visiteurs ou non, sont les équivalents japonais de nos églises, temples ou synagogues. Leurs visiteurs sont donc tenus de se comporter de la même manière respectueuse. Évitez les bavardages bruyants et gardez votre téléphone éteint ou en mode silencieux pendant la visite, en particulier lorsque vous vous approchez du sanctuaire.

La tradition veut que l’on ne se rende pas dans un sanctuaire si l’on est malade, si l’on a une blessure ouverte ou si l’on est en deuil, car ces situations sont considérées comme des causes d’impureté.

Franchissez les portes de manière appropriée

Tous les sanctuaires japonais ont une porte torii. Elle signale aux voyageurs qu’ils entrent dans le royaume d’une divinité. Il existe également dans les temples japonais une porte appelée sanmon, qui délimite le terrain ordinaire et le terrain sacré.

Il faut se rappeler deux points importants avant de franchir la porte : s’incliner devant elle et faire le premier pas avec le pied gauche. On peut appeler un torii l’entrée officielle de la maison du kami, aussi montrez votre respect en ôtant votre chapeau si vous en portez un et en vous inclinant une fois avant de passer.

Commencez ensuite à marcher le long de l’approche du sanctuaire, en faisant le premier pas avec votre pied gauche. Veillez à marcher sur le côté gauche du chemin, car le centre de l’approche est réputé être « l’endroit où les kami passent ».

Devant les portes ou autres lignes séparant des zones distinctes, ne marchez jamais sur le seuil : cela est considéré comme un manque de respect. Dans certains cas, des poutres en bois peuvent dépasser de 20 cm ou plus, mais on attend des visiteurs qu’ils fassent l’effort de les enjamber, jamais de les franchir. Cette règle est valable même s’il n’y a pas de différence de niveau notable, ou même s’il n’y a pas de marque perceptible sur le sol.

Habillez-vous convenablement

Asakusa

La majorité des temples et sanctuaires ne prévoient pas de code vestimentaire strict. Il est toutefois préférable de s’habiller sobrement en signe de respect. Abstenez-vous de révéler trop de peau ou de vous montrer dans des tenues légères, même pendant les mois les plus chauds. Gardez à l’esprit que, même si vous êtes en vacances pendant votre voyage au Japon, les gens visitent ces sites pour prier.

Quand vous entrez dans les bâtiments du temple, on vous demandera peut-être d’enlever vos chaussures. Déposez-les sur les étagères à l’entrée ou emmenez-les avec vous dans des sacs en plastique fournis dans certains temples. Mettez de belles chaussettes ou apportez une paire pour l’intérieur si vous ne portez pas de chaussettes. Un chapeau doit être ôté avant d’entrer dans le temple ou le sanctuaire.

Munissez-vous d’une petite serviette, d’un mouchoir ou de papier de soie afin de vous sécher les mains et la bouche après le rituel de purification du lavage des mains et de la bouche. Cela témoignera de votre attention à l’étiquette, un geste très apprécié. Vous pouvez le tenir sous le bras pendant le processus.

Faites attention aux panneaux pour les photos

Les sanctuaires et temples shinto sont tellement photogéniques que la plupart des gens ne peuvent s’empêcher de vouloir prendre une photo. Rappelez-vous toutefois qu’il ne s’agit pas de sites touristiques, mais d’importants lieux de culte que les Japonais vénèrent depuis longtemps.

Il est tabou de photographier directement les figures des divinités et du Bouddha. Il y a également des emplacements qui ne sont pas ouverts au public et où les photographies sont interdites. Soyez attentifs aux panneaux ou aux affiches.

Rituels de purification

Un lavabo utilisé dans un rituel pour purifier par lavage des mains dans un sanctuaire au Japon

Vous trouverez sur le chemin du sanctuaire un petit pavillon avec un bassin rempli d’eau ; c’est ici (appelé chozuya) que vous vous purifiez avant de vous approcher du sanctuaire principal.

  1. Remplissez la louche d’eau et versez un peu d’eau sur votre main gauche, puis sur votre main droite.
  2. Rincez-vous ensuite la bouche en tenant à nouveau la louche dans votre main droite et en versant un peu d’eau dans votre main gauche, puis rincez-vous légèrement.
  3. Ne vous nettoyez pas la bouche directement avec la louche !
  4. Tenez la louche verticalement, en laissant l’eau restante s’écouler le long du manche et en la nettoyant. En hiver, ne sautez pas cette étape sous prétexte qu’il fait trop froid !

Il ne faut pas boire l’eau directement de la louche, ni cracher dans la fontaine, ni retourner l’eau de la louche dans la fontaine. Au contraire, tenez la louche à l’envers au-dessus du sol pour laisser l’eau restante s’écouler et rincez le manche lorsque vous avez terminé.

Les Japonais ont tendance à alléger ce rite dans leur vie quotidienne : ils se lavent uniquement les mains et ne portent pas d’eau à la bouche. La pandémie de la COVID-19 a encore allégé l’étiquette de la purification par souci d’hygiène. Ainsi, les louches ont été retirées et les gens se lavent les mains sans rien manipuler.

Prier

Prier-Japon

Dans un sanctuaire

Lorsque vous atteignez le sanctuaire, vous êtes enfin prêt à vous recueillir. Ce procédé peut être divisé en plusieurs étapes.

  1. Inclinez-vous légèrement.
  2. Lancez doucement une pièce de monnaie dans la boîte ou le récipient qui se trouve devant vous. La somme d’argent n’a pas d’importance ; ce n’est pas parce que vous avez utilisé une pièce de 500 yens que vos souhaits ont plus de chances de se réaliser. Nombreux sont les Japonais qui croient que l’utilisation d’une pièce de 5 yens augmente leurs chances de trouver une personne significative, puisque go-en est homophone du mot japonais signifiant « relation ». Toutefois, ce n’est rien de plus qu’une légende urbaine ; les dieux existaient avant le yen.
  3. Sonnez la cloche (s’il y en a une) 2 ou 3 fois pour signaler aux dieux que vous êtes arrivé.
  4. Inclinez-vous profondément deux fois (jusqu’à ce que vous atteigniez un angle de 90 degrés).
  5. Frappez deux fois des mains, la main gauche légèrement en avant.
  6. Exprimez vos vœux, sans oublier de remercier les dieux.
  7. Inclinez-vous profondément une fois.

Dans un temple

On applique les mêmes règles que pour la visite d’un sanctuaire. On s’incline brièvement avant d’entrer, on marche sur les côtés et on se purifie au chozuya ; toutefois, la manière de présenter ses égards varie.

  1. Brûlez de l’encens (généralement fourni au temple) ; l’odeur de l’encens est une nourriture pour le Bouddha.
  2. Il est interdit d’allumer son propre bâton d’encens sur les bâtons brûlés par d’autres personnes, car cela revient à assumer leurs péchés.
  3. Inclinez-vous légèrement.
  4. Lancez doucement une pièce de monnaie dans la boîte située devant vous.
  5. Faites sonner la cloche (s’il y en a une) 2 ou 3 fois.
  6. Inclinez-vous légèrement et présentez vos respects en joignant les mains, mais ne tapez pas dans les mains. Nous vous recommandons de tenir un collier de perles ou un chapelet pendant que vous priez. N’oubliez pas de remercier le Bouddha !
  7. Inclinez-vous légèrement.

Encens

Dans la majorité des temples bouddhistes, il y a d’énormes brûleurs où les visiteurs peuvent brûler de l’encens, généralement pour nettoyer, purifier ou dégager un chemin vers Bouddha. Procurez-vous un paquet d’encens, allumez-le et mettez-le sur le brûleur. Laissez brûler pendant plusieurs secondes, puis éteignez-le en l’éventant avec votre main plutôt qu’en le soufflant.

Comme la fumée de l’encens est censée avoir des propriétés curatives, éventez-la vers vous avant de quitter la station de combustion. Il arrive que certaines personnes soufflent de la fumée vers elles-mêmes à des fins de guérison. Elles peuvent, par exemple, souffler de la fumée vers leur épaule si elles sont blessées.

N’allumez pas votre bâtonnet d’encens à partir des autres encens qui brûlent, car cela signifie que vous prenez leurs péchés.

Réalisez des achats

Les plaquettes ema (絵馬)

Plaquette Ema

Autrefois, les offrandes aux sanctuaires se présentaient sous de nombreuses formes. L’ampleur des dons variait considérablement. Les plus riches offraient des chevaux, le moyen symbolique par lequel les dieux descendaient vers les sanctuaires, mais le coût de cette pratique a entraîné sa disparition. On a remplacé l’offrande de chevaux vivants par l’offrande de chevaux symboliques, peints sur des tablettes rectangulaires en bois appelées Ema (littéralement « e » et « ma » signifient un cheval d’image), dont le bord supérieur incliné semble être un toit au-dessus du cheval.

On trouve aujourd’hui de nombreuses autres images d’animaux représentées sur les ema, même si les chevaux restent prédominants. Les autres bêtes sont généralement celles du zodiaque de 12 ans : rat, bœuf, tigre, lièvre, dragon, serpent, cheval, mouton, singe, coq, chien et sanglier, et chacune devient abondante à son tour, selon l’année.

Un visiteur achète l’ema aux employés du sanctuaire, et contribue ainsi financièrement au sanctuaire. L’employé ne se contente pas de le vendre, mais le bénit également. Les dessins au recto de l’ema sont réalisés à la main, à l’aquarelle ou en sérigraphie. Certains sont toutefois vendus en version vierge pour que le visiteur du sanctuaire puisse créer son propre ema, unique en son genre.

Au verso de l’ema, le visiteur inscrit une prière, ou plutôt un souhait personnel, et l’accroche, avec d’innombrables autres, sur un cadre spécialement conçu à cet effet, et dans lequel les kami, les divinités enchâssées, les reçoivent.

Les prédictions sur papier omikuji (おみくじ)

L’omikuji est une feuille de papier sur laquelle est inscrit le résultat de la voyance. Nombre de sanctuaires et de temples japonais vous proposent cet omikuji pour vous dire la bonne aventure et vous donner des conseils sur la manière d’améliorer votre vie à l’avenir. Il ne vous dit pas seulement si vous aurez de la chance ou de la malchance à l’avenir, mais il décrit aussi en détail vos différents destins, tels que votre chance en matière d’argent, de santé, de relations amoureuses, etc.

Le coût des omikuji peut varier en fonction du sanctuaire ou du temple, mais le prix moyen d’un omikuji se situe entre 100 et 200 yens. On appelle également l’omikuji « message de Dieu » puisqu’il vous indique sur un bout de papier comment passer votre temps dans le futur. Il peut être obtenu dans des lieux sacrés comme les sanctuaires et les temples.

Une façon habituelle de procéder consiste à choisir un bâton fin et numéroté dans un récipient, puis de prendre dans un tiroir un papier portant le numéro correspondant. Beaucoup de sanctuaires proposent différentes manières de choisir son avenir, certains ayant même des distributeurs automatiques d’omikuji.

Une prédiction standard sur papier présente un résultat allant de daikyō (grande malchance) et kyō (malchance) à kichi (bonne chance) et daikichi (grande chance). On y trouve aussi des prévisions dans des domaines tels que la santé, les études, l’amour et les relations.

La tradition veut qu’une bonne fortune soit ramenée à la maison. On attachait autrefois les mauvais sorts aux arbres dans l’espoir qu’ils ne se réalisent pas ; de nombreux sanctuaires et temples réservent désormais une zone désignée, semblable à une clôture, pour attacher les sorts, afin d’éviter d’endommager les arbres.

Les talismans omamori (お守り)

Les Omamori sont des amulettes en tissu colorées que l’on trouve sur les stands près de presque tous les temples japonais. Elles sont composées de minuscules plaques de bois ou de papier sur lesquelles figurent des passages de sutras bouddhistes et, pour les talismans shintoïstes, le nom du temple dont ils proviennent. À l’origine, les omamori étaient fabriqués en papier ou en petits morceaux de bois. De nos jours, les porte-bonheur traditionnels sont généralement disponibles dans de petits sacs de brocart colorés et chatoyants qui peuvent être attachés à un sac à main, à un téléphone ou accrochés dans une voiture.

Le terme omamori (お守り) vient du verbe japonais mamoru (守る), qui signifie « protéger ». Initialement, les talismans consacrés aux divinités devaient assurer une protection contre les forces maléfiques générales et le malheur. Au fil du temps, ils se sont spécialisés pour contrer des dangers spécifiques ou porter chance lors d’événements importants de la vie. En dépit du pouvoir divin attribué aux sacs, les Japonais ne croient pas aveuglément à leurs effets magiques. Les Omamori sont peut-être efficaces dans les défis quotidiens, mais leurs propriétaires sont en fin de compte les seuls responsables de leur destin et de leur réussite.

Omamori-Mains

Il convient de savoir que, même si les omamori sont mignons en apparence, ce sont des objets religieux et non des objets que l’on « achète » en soi. Les Omamori sont donnés par Hotoke (Bouddha) ou Kami (divinités Shinto). De ce fait, l’argent que vous remettez au personnel n’est pas un paiement, mais une dédicace.

Le succès commercial des omamori est lié non seulement à l’attrait visuel des talismans, mais aussi à leur date de péremption relativement courte. Chaque sachet ne fonctionne que pendant environ un an. Après ce délai, il faut le rapporter, de préférence au temple d’où il provient. Les moines locaux l’y brûlent avec d’autres amulettes « usagées » au cours d’une cérémonie spéciale appelée Koshinsatsutakiageshiki, et si les propriétaires veulent rester en sécurité et avoir de la chance, ils devront se procurer de nouveaux talismans pleins de pouvoir.

Les Omamori sont susceptibles de fournir des bénédictions et une protection générales, ou peuvent avoir un objectif spécifique tel que :

  • Kōtsū-anzen : sécurité routière – protection des conducteurs et des voyageurs de toutes sortes.
  • Yaku-yoke : éviter le malheur.
  • Kaiun : chance retrouvée, meilleure fortune
  • Gakugyō-jōju : éducation et réussite aux examens pour les étudiants et les érudits.
  • Shōbai-hanjō : prospérité dans les affaires – succès dans les affaires et les questions d’argent.
  • En-musubi : acquisition d’un compagnon et mariage – disponible pour les célibataires et les couples pour assurer l’amour et le mariage.
  • Anzan : protection des femmes enceintes pour une grossesse saine et un accouchement facile.
  • Kanai-anzen : sécurité (bien-être) de la famille, paix et prospérité dans le foyer.

Les amulettes ofuda (御札)

Ofuda

L’ofuda se compose d’un morceau de bois ou d’une carte sur laquelle est inscrit le nom du kami, ou parfois le nom du sanctuaire. On accomplit un rituel qui charge l’ofuda du pouvoir du kami. Tout se passe comme si quelque chose de divin était transféré en lui. Dans cette optique, l’ofuda est sacré et doit être traité avec soin. Il ne doit en aucun cas être retiré du papier dans lequel il est enveloppé. Comme une pile, il n’a qu’une puissance limitée et doit être remplacé chaque année.

Certaines sortes d’ofuda sont destinées à un usage spécifique (comme la protection contre les calamités ou les malheurs, la sécurité à l’intérieur de la maison ou la recherche de l’amour) et peuvent être gardées sur soi ou placées à d’autres endroits de la maison (comme les portails, les portes, les cuisines ou les plafonds). Les ofudas en papier sont aussi appelés kamifuda (紙札), tandis que ceux en bois sont appelés kifuda (木札).

Quelle est la différence entre les sanctuaires et les temples ?

Cette question ne semble pas difficile à première vue, mais même de nombreux Japonais ne connaissent pas la réponse. ourtant, il existe deux façons simples de les distinguer. Premièrement, les sanctuaires ont une simple porte, appelée torii, qui sépare le monde humain et le sol sacré, tandis que les portes d’un temple, appelées sanmon, ressemblent davantage à une grande maison qu’à une porte.

Ensuite, les temples ont presque toujours des images et des statues bouddhistes, alors que les sanctuaires n’en ont pas. En résumé, les différences sont les suivantes : les dieux résident dans les sanctuaires, tandis que les bouddhas résident dans les temples.

Quels temples visiter au Japon ?

Le Japon est l’un des pays les plus anciens du monde. Il recèle une multitude de trésors historiques à découvrir, dont des centaines de temples et de sanctuaires. Nombre des temples les plus célèbres du Japon ont bien plus de 1 000 ans et présentent de grands complexes composés de salles principales, de pagodes, de superbes portes en bois, de statues, de maisons de thé, de jardins, etc.

Plusieurs ont été classés au patrimoine mondial de l’UNESCO, tandis que d’autres sont protégés par le gouvernement fédéral, car ils abritent des objets d’importance religieuse et historique. Que vous visitiez Tokyo, Hiroshima ou Kyoto, voici quelques-uns des meilleurs temples :

  • Temple Kotokuin, Kamakura
  • Temple Senso-ji, Tokyo
  • Temple Hasedera, Kamakura
  • Kinkaku-ji (le Pavillon d’or), Kyoto
  • Shitennō-ji, Osaka
  • Temple Ryoan-ji, Kyoto
  • Daishō-in, Hiroshima
  • Temple Kiyomizudera, Kyoto
  • Temple Todai-ji, Nara
  • Temple Seiryu-ji, Aomori
  • Temple Chikurin-Ji, Kochi

Quels sanctuaires visiter au Japon ?

Un sanctuaire shinto est le principal lieu de culte physique des adeptes de la religion shinto japonaise. Son nom est généralement suivi du suffixe jinja. Le rôle principal d’un sanctuaire est d’abriter un ou parfois plusieurs esprits kami, vénérés dans la religion shinto. Souvent, les lieux de culte ont un honden, c’est-à-dire la pièce principale où vit le kami. La présence d’un honden n’est pas toujours nécessaire : dans un sanctuaire situé sur une montagne, par exemple, c’est souvent la montagne elle-même qui fait office de lieu de culte.

Voici une liste des meilleurs sanctuaires du Japon, selon nous :

  • Grand sanctuaire d’Ise
  • Fushimi Inari à Kyoto
  • Meiji Jingu
  • Sanctuaire Heian Jingu
  • Nikko Tosho-gu
  • Sanctuaire d’Udo
  • Sanctuaire de Nezu
  • Sumiyoshi Taisha
  • Kumano-Nachi Taisha
  • Sanctuaire d’Itsukushima
  • Sanctuaire de Zeniarai Benten
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2 Commentaires
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D

Merci beaucoup pour ces précises et précieuses informations. 😊